dimanche 14 décembre 2008

Quand on tranche, on s'coupe...

Si seulement Van Gogh l'avait su !




Autoportraits à l'oreille bandée 1889.

Fin du post (ou presque) et Gloire aux Pays-Bas ! (les tulipes ! la Hollande ! les coffee-shops ! la Hollande ! les moulins ! la Hollande ! le fromage orange ! la Hollande !)
là je m'efforce de faire passer un message (subliminal et discret) pour ceux qui sont loin de chez eux (et qui ont dans leurs yeux...) ou qui n'ont pas suivi : le titre du post, c'est une petite phrase de F. Hollande, le jour de la confirmation de M. Aubry à la tête du PS.

Aubry PS : tout ça (ce post) juste pour faire mentir Fab-Fab qui ose dire que les posts ne changent qu'une fois par mois sur ce blog. Fab-Fab, baF-Fabulateur, gniark gniark (JdMdM).

Abribus (Aubry bis) PS* : à ceux qui penseraient jeter un oeil du côté des archives pour vérifier la régularité des posts, d'une part : ne le jetez pas trop fort ; d'autre part, les choses ne sont pas toujours ce qu'elles semblent être, la preuve par le jeu et le feu Dali (paix à son âme, je ne l'aime pas**) !


1. ... Visage de Mae West pouvant être utilisé comme appartement, 1934-35.



2. l'Espagne, 1938.



3. ... Cygnes réfléchis en éléphants, 1937.



4. L'image disparaît, 1938.



5. L'énigme sans fin, 1938.





Alors, que voyez-vous ?


* ou comment faire un PS trois fois plus long que le reste.
** vous aurez noté l'espèce de figure de style/produit en croix involontaire : paix-âme aime-pas !

--> parce que je suis sadique, j'ai caché certains titres trop explicites : les 4 premiers tableaux ne sont que des 2 en 1 (simples images doubles), le cinquième est un 6 en 1 !
mais parce que je veux garder mes quelques lecteurs/lectrices, j'vous mets les 6 possibilités très farfelues de l'Enigme sans fin et en masqué :
- plage de cap Creus avec femme assise vue de dos recousant une voile, et bateau ;
- philosophe allongé ;
- visage du grand cyclope crétin ;
- lévrier ;
- mandoline, compotier avec poires, deux figues sur une table ;
- bête mythologique.

lundi 8 décembre 2008

Les tas, c'est moi...

...parce qu'il faut bien balayer les posts morts devant sa porte,

et puis parce que l'hiver est enfin là et je renais (ni ironie, ni erronée, ni rire au nez)(JdMdM)*.
Si on me parle chipotage ou si on chi. (**) dans le potage, pour une histoire de date ou de datte (miam) pas mûre, ô tomnerre dhiver ! je nie et je crie, qu'on se le dise !


* exceptionnellement de par le fait (j'aime cette expression qui ne sert à rien : ce qui n'est pas utile enrichit, si si), j'instaure la règle temporaire du JdMdM. mais je n'ai plus envie d'expliquer, là tout de suite, du coup, débrouillez-vous, haha !
** pardon, c'est vulgaire. et tout ça pour un Jeu de Mot niais (argh, Ruquier, reculez !). mais bon, y a pas non plus une .ouille dans le potage (ohhh).



Pourquoi l'hiver ?
Et pourquoi pas ?
mouais, vais peut-être la remballer celle-là : c'est le papier qui est froid c'est le pap...(JdMdM)

Donc pourquoi l'hiver ?
Et pourquoi pas ?
nan, décidément, ça passe pas, là.

Parce que...


Parce que...
j'ai toujours aimé les phrases qui commencent par parce que...

j'ai sorti...

...le sous-pull à manches longues !



Ouaip, j'vous entends d'ici : pfftt, c'est pul, nan, nul.

C'est pas faux.
mais zavez déjà vu un sujet im-portant/téressant sur ce blog ?


Alors, faut savoir (ou pas) qu'j'suis pas très frileuse.
Jusqu'à présent, j'étais en débardeur + haut à manches plus ou moins longues, + veste très légère qui ne ferme pas + étole/écharpe.

Là, j'ai franchi une étape.
Aujourd'hui, c'était sous-pull + haut + étole/écharpe.

j'ai tombé la veste, parce que quand même, j'avais un peu chaud.


Donc, j'vous la pose à l'enver, hiiiii : à quand le pull ?

et à force, yo ! ris ! : à quand l'manteau ?

et voilà le noeud gordien de l'affaire (la voilà la véritable .ouille ! dans l'potage) :
l'éternal problème of the manto tem !(JdMdM)


...


Tous les ans, c'est la même histoire : il ne fait froid qu'en décembre.
Donc, je ne pense manteau qu'en décembre.
Décembre étant avant janvier (étrange, étrange, le douzième mois de l'année qui vient avant le premier...), et janvier amenant les soldes, j'attends.
Arrive janvier, j'ai bien mangé (et bu, hic !) et je me dis : première démarque, ouais bof, j'ai grossi, y a du monde, et pas encore de p'tit prix, j'attends.
En fin : la dernière démarque ! C'est l'heure, me dis-je.

Je vais dans les magasins, et là...


my ohh godd, plein de maillots ! et plus un seul manteau !


Alors moi, c'que j'en dis, c'est...
Sapristi, oui, les bikinis, c'est joli,
les maillots, c'est très beau,
mais les manteaux, c'est bien plus chaud !





--> et sinon, les signes +, c'est pour dynamiser le post. parce que de par le fait, c'est un signe dynamique, dixit le futurisme.
--> et puis juste pour terminer, parce que c'était la Fête des Lumières lyonnaises, et parce que Magritte, même usé par la pub, reste léger à regarder. Belge de par le fait. L'empire des lumières, 1954.


samedi 8 novembre 2008

Mi-Lourd, Mi-Teinte (hein ?) Riquet à la houppe !

Cherchez pas à comprendre, pour le titre, c'est que je suis tombée là-dessus :
Mais vous pleurez, mi-lourd?
(Jean-Paul Grousset).


Aujourd'hui donc : Portrait de Lourd, par Pyrrha-Na, docteur ès lourdeurs, chargée d'études en Lourds.



1. Le lourd a le profil typique du psychopathe : lunettes de vue aux verres toujours teintés, la quarantaine, jamais de chaussettes, vivant chez ses parents, célibataire sans enfant, son animal de compagnie (Milou ?) comme meilleur ami. Il cherche en permanence à mieux te connaître et insiste lourdement, évidemment. A toi de contourner les questions dangereuses. Toute question étant potentiellement dangereuse, contourne toujours.




2. Le lourd aime parler. De préférence à ton nez (il est trop près pour s'adresser à toi en entier). L'haleine fétide est sa deuxième amie préférée (après son chien, si tu suis bien). Et lorsqu'il ne te parle pas, il te fixe. En coin, de face, de loin, de près, d'en-dessous, d'au-dessus... Si tu croises son regard, il ne se détourne pas : il est heureux. Comblé.



3. Le lourd est collant. Scotché. Greffé. Une seule solution, chirurgicalement incorrecte : Il faut casser le Lourd avec du lourd.
Exemple matinal :
le Lourd te tend la main. Tu ne le connais que depuis la veille, mais tu as déjà goûté à sa poignée : pas de surprise, elle était moite et collante.
Tu veux -tu dois- l'éviter.

Tu souris, tu gardes tes mains cachées, et tu dis :
- ohh, tu sais, on n'est pas obligé de se serrer la main tous les matins !
1er cassage, mais trop léger, la preuve :
- ah oui, c'est vrai, on peut se faire la bise !
Il se rapproche déjà. Aux anges.
Aux armes Citoyenne ! Il faut réagir.
Ton instinct t'y pousse, suis-le, et dis :
- ou alors, on peut aussi ne rien faire.
Et toc : 2ème cassage.

Et tu souris toujours : tu peux être une sal..e oui, mais une s..ope mondaine, tout de même !
Sa main retombe.
Tu peux tourner les talons.
Si ça ne marche pas : abandonne le côté mondain.
Oui, tu as bien lu : ça peut ne pas marcher. Parce que :



4. Le Lourd te voue un culte unique et inconditionnel.
Il boit chacune de tes paroles, aime les répéter à voix haute, et se montre toujours enthousiaste :

- je vais faire pipi.
- waouuhhh.... elle va faire pipi... (...)... ohh, attends, moi aussi, j'arrive ! (oui parce que le Lourd cherche à t'imiter, et adore l'idée d'avoir des points communs avec toi).

- j'aime le chocolat.
- waouuhhhhh.... elle aime le chocolat !... (...)... tiens, j'ai pensé à toi hier soir ! j'ai fait des muffins au chocolat !
(dans cette situation, le cassage est de mise : il faut absolument refuser-mondainement si tu veux- le cadeau).

- j'habite à 3 minutes à pied de l'arrêt de bus.
- waouuhhhh.... c'est extraordinaire ! tu habites à 3 minutes de l'arrêt de bus !




Bien entendu, le Lourd n'oublie aucune de tes paroles, aucun de tes gestes et n'admet aucune variation, aucun changement.
ainsi, un mois après, tu converses (bof, ça fait des grands pieds) avec une autre personne dans un des rares moments où le Lourd te laisse respirer (il est sûrement aux toilettes, rapport à sa prostate), et tu dis :
- oui, j'habite à 2 minutes de l'arrêt de bus !
La réplique ne tardera pas, derrière ton dos (non, il n'était pas aux toilettes, oui, il contemplait ton dos) :
- mais tu m'avais dit que tu habitais à 3 minutes !
Le ton sera accusateur.
Cependant :



5. Le lourd te prenant pour sa seule source d'information (et tu es tout à la fois l'émetteur, le transmetteur, et le récepteur), il t'en veut si tu ne communiques pas, ou mal, mais il t'excuse. Toujours.
Et est toujours d'accord avec toi :
- tu veux un café sans sucre ?
- oui je veux bien.
- ou un café sucré ?
- oui, je veux bien.
- à moins que tu ne préfères un capuccino ?
- oui, je veux bien.
- euhh... oui à quoi en fait ?
- ohh oui ! c'est toi qui choisis !



6. Heureusement, il y a un moyen efficace d'éloigner le Lourd, après t'être soulagée avec la cass'attitude. Un moyen de lourder le lourd.
Un seul moyen (non, tu ne dois pas le tuer)...

Ajoute un "l". Ignore-le. C'est la class'attitude.
Tu peux. Parce qu'il est forcément plus petit que toi. Regarde au loin, le désert du Sahara ou l'Alaska.
Et tu le vaincras.


7. Une fois le Lourd vaincu, tu pourras lire ces citations sans crainte, piochées lors de ma rencontre avec Gougueule :



--> Je suis allé à Lourdes avec ma femme. Il n'y a pas eu de miracle. Je suis revenu avec.
Seymour Brussel.


--> La mémoire est souvent la qualité de la sottise : elle appartient généralement aux esprits lourds, qu'elle rend plus pesants par le bagage dont elle les surcharge.
Chateaubriand.


--> Le Belge est lourd, certes, mais il est franc alors que quand le franc est lourd, c'est qu'il est suisse.
Pierre Desproges


--> Les risques du métier: Son menton a soudainement quitté la paume de sa main droite posée grâce à un coude et sa tête est venue frapper lourdement le bureau. Une fois de plus, un fonctionnaire s'est tué au travail.
Les Nuls


--> Ne pas alourdir ses pensées du poids de ses souliers.
André Breton.


-->Si ce sont les plumes qui font le plumage, ce n'est pas la colle qui fait le collage.
Max Ernst.

Et voici pour terminer, une oeuvre célèbre de Max, justement. Photomontage (à partir de la photo d'une bombe) : Le Rossignol chinois.



mardi 21 octobre 2008

Je soupçonne la Sauce Tomate dans le Ravioli, avec le Parmesan...

Il était une fois une jeune fille de terminale qui avait envie de prolonger ses vacances et de faire un p'tit régime. Elle réfléchit longuement, trop longuement.
Arriva le jour de la rentrée sans idée. Obligée d'y aller (au lycée), elle se dit, pouahh, vraiment, je serais mieux au lit. Qu'à cela ne tienne, le génie la traversa (dans le passage piéton, niveau ganglions).
Et elle se fit de nouveaux amis, j'ai nommé : Modetête, Maldegorge, Nébouché et Yeufermés. Sa moman fort inquiète l'emmena voir Messire le Doc Généraliste. Le sire cogita.

Cogita.

Et cogita.


Puis lança une pièce de deux euros qui retomba sur la moquette.
Sinusite ou Méningite ?
La moquette (qui avait des trous : le Doc la fumait bien volontiers) trancha : la Sinusite l'emporta.

La jeune demoiselle dut donc prendre son poteau l'Antibio 1 (dit Formule 1). Durant 7 jours.
Ses amis Modetête, Maldegorge, Nébouché et Yeufermés lui posèrent un ultimatum : c'étaient eux ou la Formule 1.
Elle n'avait perdu que 2 kilos. Mais la Formule 1, c'était cool.
La pièce de deux euros fut sortie de nouveau et retomba cette fois sur le parquet ciré. Les amis l'emportèrent.

Sire le Doc généraliste fit donc appel à un confrère : Messire l'eau-airelle. Tous deux ajustèrent leurs lunettes, sortirent leurs calepins et commencèrent le questionnaire : est-ce que tu as pris de la cocaïne ces derniers temps ? du sucre blanc ? de la farine ? du coca ?.
Vraisemblablement peu satisfaits des réponses réponsées, ils enfilèrent leurs blouses blanches et piquèrent.
Deux prises de sang plus tard, la pièce de deux euros atterrit chez le boulanger. 2 pains s'il-vous-plaît. Elle avait trouvé là sa plus grande utilité (jusqu'à l'épisode où elle se retrouve enfouie dans le sable et sous une chaise longue sur une plage très jolie de l'Italie mais ceci est assurément une autre histoire).
Ce fut le sang qui assuma le verdict : qu'on lui trrrrranche la tête ! Même s'il dit plutôt en l'occurence : c'est une mononucléose infectieuse !

L'eau-airelle en fut fort aise, et proposa la compagnie de l'Antibio 2(dit Ibis) à la demoiselle qui, ayant perdu 5 kilos, s'en chargea sans peine. Jusqu'à ce qu'une semaine plus tard, au réveil, elle ne découvrit l'horrible stratagème : Ibis cu(s) vait depuis plusieurs jours et il fleurit en grandes fleurs rouges sur son corps.
l'Antibio 3 (dit Cotillon) fut réquisitionné.
La bataille était gagnée.

Reste à savoir qui a embrassé ma petite soeur... (m'est d'avis que la plage italienne n'y est pas totalement étrangère, mais chuuuttt.... ! rien à voir avec un maître-nageur ! petite soeur si tu passes par ici...)

PS : le titre penche vers la Botte, lui aussi.
Un pas plus loin, et voici Botticelli, le Printemps. J'aime pas.




vendredi 19 septembre 2008

Dollart

Aujourd'hui, éclatons-nous (ou pas) avec les homophones de ver. J'en ai souffert en primaire, avec un texte-piège (à la dictée de Pivot). A votre tour-Tour en 4 points.


1. En vers et contre tout.

Hier, je faisais réciter des vers de Prévert à la p'tite patate que je garde (CE1).
Et d'un coup d'un seul, il s'arrête.
Long silence. Et puis :
" La deuxième partie est vraiment plus poétique que le première, je la préfère."
Et il reprend.
Même pas 7 ans, et déjà une sensibilité que bien des adultes n'ont pas. Il est génial ce gosse.
En toute objectivité.

Moi, curieusement, je ne me souviens pas des poésies apprises dans mon enfance, mais j'ai été marquée au lycée par Paul Eluard et sa "chevelure d'oranges dans le vide du monde". Bref.





2. Vair et verre, ou de la chaussure qui détermina toute l'histoire.

On parle de Cendrillon là.
En simplifié :
Charles Perrault a parlé de pantoufle de verre dans sa version originale de Cendrillon, mais Balzac et Littré se sont permis de la changer en vair (et zont introduit le ver dans la pomme par la même occasion, merci les gars!) puis Walt Disney l'a illustrée en verre (et depuis, on en a fait une tempête dans un verre d'eau, pfiouuttt..).
Il est vrai qu'une pantoufle de verre ne doit pas être super douillette au coin du feu l'hiver.
Comme quoi le choix du matériau est primordial. N'en témoigne l'oeuvre de Meret Oppenheim (Déjeuner de fourrure 1936 Moma)




A chaque fois que je vois cette oeuvre, je me dis : beuurrrkkkk !
(elle n'est pas en vair, mais en fourrure d'antilope, pour les chipoteurs)





3. Billet vert.

12 cm². C'est la surface de verdure par habitant à Paris (ou dans le deuxième arrondissement je ne sais plus). J'ai décidé d'aller sniffer mes 12 cm² tous les jours, pour un apport oxygéné optimisé. Je vous tiens au courant (ou pas, encore une fois) de l'évolution de ma respiration.





4. Ver(s) Versailles.

Depuis quelques années, on voit fleurir des oeuvres contemporaines au milieu d'oeuvres anciennes.
Par exemple, au Louvre, où l'on pouvait admirer (ou pas, 3!) au début de l'année ce gigantesque ver, hommage de Jan Fabre à Rubens.




Du Louvre à Versailles, il n'y a qu'un pas.
Et il y a quelques jours, a été lancée l'expo de Jeff Koons justement à Versailles, très controversée. Pour ma part, je la trouve salutaire. L'art doit interpeller. D'un point de vue esthétique, le contraste met en valeur l'art versaillais et force le visiteur à regarder (et dépasser le "voir") ; et la liaison entre les 2 oeuvres (versaillaise et koonesque) en crée une troisième : c'est peut-être là un développement possible de l'art dans le futur, sorte de transcendance du temps.


lundi 15 septembre 2008

Mais d'ailleurs...

Il pleut des médailles et ça fait mal Aïe !

Après les 40 des JO et les 40 (?)environ aux JP, en voici plusieurs dizaines de milliers qui se profilent : celles des bacheliers. D'où certaines supputations supputées :


1. les JO = le bac ; les sportifs de haut niveau = les bacheliers ; donc je suis une sportive de haut niveau qui a fait les JO haut la main. Ca se tient et ça se maintient.

2. on prend les bacheliers pour des bleus : allez les bleus, allez les bleus ! Les bleus aiment les médailles. Mais préfèrent sans doute la prime qui les accompagnent. Mon petit doigt me dit que les bacheliers sont dans le même cas.

3. le métal est in. La preuve par la pièce de 15 euros qui vient de sortir, et celle de 100 euros prévue pour novembre. Même valeur que le papier : la faute à la déforestation ? Quand on réfléchit (et même quand on ne réfléchit pas), c'est con la société. Payer avec des bouts de papier. Moi je veux des espèces sonnantes et trébuchantes.

4. on a tous quelque chose en nous (ou chez nous) de médaillé : une médaille du club de piscine où on allait en primaire, un médaillon donné par une grand-mère ou des mailles tricotées par elle, quelques haillons, des cailles à l'ail, une fin de bail (octobre pour moi) mes baille-ments de ce soir...je m'égare et je me gare.




M'en vais du côté du Cabinet des médailles (à la BNF site Richelieu), où vous pourrez trouver ceci :


C'est l'ivoire Romanos, qui a donné son nom au groupe d'ivoires du même style et qui représente le Christ bénissant l'empereur Romanos et sa femme Eudoxie. Ca m'aurait arrangée qu'il les couronne (une transition vers le tableau de David avec Napo empereur couronnant sa femme Joséphine reste possible mais un poil lourde, et hop, rappel du post précédent).


Parce qu'en parlant du Christ et d'une couronne, zavez vu ? Benoît XVI a de bonnes dents : pas trouvé de sourire à couronne apparente, et c'est pas faute d'avoir cherché.
Il sourit pourtant largement ici par exemple (et a l'air tout de suite plus sympathique, non ?) :




Mais il est temps de dire Byyeee !

mardi 9 septembre 2008

Poil (s)Ourd(er la crête) !

Bilan post-exams :

--> j'ai encore grossi. ma taille n'est plus si fine.


--> j'ai (re)découvert l'origine de la réputation de non-épilation-des-aisselles des Européennes. C'est la Liberté, poil au nez ! (oui oui, elle a bien des poils sous les bras).







Et maintenant, je vais aller m'ourder la crête, yiiiiiii haaaa !
m'enfin avant je vais dormir parce que 3 heures en 2 nuits.


Ici un blog beuuurrrkkk à la gloire de l'SL poilue !
le sens de s'ourder la crête, hic !

vendredi 15 août 2008

En gros.










Juste pour vous mettre dans l'ambiance... une histoire d'ombre énorme qui est Personne.



Parce que oui, je suis dans la semaine du gros :





1. J'ai mangé une grosse glace. 4 boules ! Un peu comme celle-ci, mais pas du tout pareille : moins de boules, moins haute, moins colorée. et puis pas de cornet. et moins chimique sûrement aussi, chez mon glacieritalienàmoidemarueàmoiquifaitdesglacestrèscrémeuses qui écoeurent, à force, un peu comme une phrase sans espace donne mal aux yeux.
m'enfin, 8 boules empilées, je n'ai jamais réussi. Me reste quelques flashs, éclairs plus clairs d'une soirée embrumée. 5 boules empilées ! ... La 6ème qui fait tout tomber sur la table. ... Quelques personnes qui plongent des petites cuillères dedans. ... D'autres qui lèchent directement...(s)Orgie glacée.








2. Ca, c'est le gros cadeau que je me suis fait. Canon powershot A720. Canon, non ? (je fais dans le lourd là. et je vais même ajouter : quand on est lourd, on est gros. même pas peur). gros zoom (x6), stabilisateur optique, super mode macro, un mode manuel, pas très cher. Amazon, c'est géant d'ailleurs ! me reste juste à apprendre à faire des photos maintenant. c'est pas gagné ! (cf. juste en dessous).







3. Et pour terminer, ça, c'est un extrait de la carte postale que j'ai reçue hier. D'une petite fille de 9 ans que je gardais l'an dernier (et les 2 années précédentes). Photo (retouchée très grossièrement) avec mon nouvel appareil donc, en mode manuel et sans avoir lu le mode d'emploi. (on se tait).

Oui, j'ai suspendu mon régime (pour changer), mais Non, je ne suis pas encore obèse. Des idées de l'idée de la phrase ?

samedi 2 août 2008

Bra(s)vo !

Brassage.

Il fait beau, il fait chaud. Le moment idéal pour vous parler de maillot.

Grâce au triomphe de Triumph (me suis pas trop trop creusée la tête, c'est vrai) qui a présenté il y a quelques temps...

Le maillot de bain solaire !

Au lieu de faire bêtement du pile et face sur la plage, bronzez utile et écolo ! Après la femme sans poils, la femme à pile, voilà qui tombe pile-poil !

Y a du soleil mais vous n'avez plus de batterie ? Plus de problème ! Enfilez votre maillot, branchez votre appareil, tournez-vous vers le soleil. Et ça recharge.

Evidemment, pas de baignade. On ne peut pas tout avoir.



J'aurais pu évoquer le soutien-gorge. Mais je préfère être soutenue par Georges C. (et en plus, c'est une brassière). Bref, passons au pluriel du bra, juste après les photos :











En Allemagne, 2 bras ont trouvé preneur (greffe). Un agriculteur va bientôt pouvoir manger du chocolat. Et planter des cacaos/cacaotiers/cacaoyers.

Vous connaissez la blague. Je ne vous la remets pas. J'ai fait suffisamment de mauvais esprit.
Quoique... Voici la chanson de Bertrand Betsch (le lien plutôt)

Pas de bras, pas de chocolat.


Là pour faire la transition, j'aurais pu écrire que Sarko avait le bras long et la jambe courte, mais c'eût été peu heureux, alors pas de transition.


Juste un bravo à notre président. Qui devient presque populaire lorsqu'il part en vacances (+ 4 points au dernier sondage). Me demande ce qu'on peut bien en déduire...
Le tee-shirt mouillé lui sied à ravir il faut dire...
Une photo de Sarko en sueur serait fort-à-propos mais je répugne à faire entrer de la transpiration présidentielle dans ce blog. Alors vous vous contenterez de cette vieille photo que j'adore :



C'est très petit. je sais. Mais c'est le pied !

dimanche 27 juillet 2008

Prêt-à-poster (timbré).

1.du gruyère au crocodile....

--> ma phrase préférée du moment : plus y a de gruyère, plus y a de trous ; plus y a de trous, moins y a de gruyère ; donc plus y a de gruyère, moins y a de gruyère.
c'est pas de moi, je n'achète que du gruyère rapé.

--> et me posais la question des différences alligator/caïman/crocodile... du coup :

alligator = tête large courte et pointue. caïman en gros la même chose.
crocodile = ben tête moins large, moins courte, moins pointue. 4èmes dents du bas apparentes la gueule fermée.
2 possibilités de reconnaissance en cas de rencontre : compter les dents, ou apporter un animal de comparaison (pour juger de la largeur de la tête).

Leçon signée Wiki sur les crocodiles :
"Ils ne peuvent ouvrir la gueule si on la retient fermée. Cette particularité a permis à des personnes de survivre à une confrontation avec cet animal.

Le fait de tourner sur soi-même* ou de courir en zigzag** ne perturbe aucunement les crocodiles, au contraire : possédant un sixième sens que nous n'avons pas, ils ressentent les vibrations***. Donc, courir en rond ou s'agiter les renseigne un peu plus sur votre position. Cela doit donc être évité.

Grimper dans un arbre pour éviter un crocodile pourrait sembler être une bonne idée. Mais, les crocodiles peuvent attendre plus de 6 mois sans boire et un an sans manger. Donc, s'il a décidé que vous êtes son prochain repas, il attendra tranquillement en bas de l'arbre.


* ??? pirouette sur un pied, hop là, impressionné le crocodile !!!
** s'il avait des mitraillettes à la place des yeux peut-être..
*** parle pour toi c(r)oco, moi je ressens les vibrations du métro, les vibrations des pavés en vélo, les vibrations des enceintes de ma voiture que je n'ai pas etc. Et dans Jurassic Park, les dinos, ils font vibrer le sol, non ?


Allez, parce que je suis sympa, je vous mets la partie suivante :

Comment réagir en cas d'attaque
Le mieux est bien sûr de ne pas se laisser approcher mais, en cas d'urgence, quelques gestes peuvent vous sauver la vie :

Essayez de frapper son museau avec un bâton ou avec votre pied.
Essayez de maintenir les mâchoires fermées à leur extrémité en les tenant à main nue ; elles ont nettement moins de force à leur extrémité.
Essayez de couvrir ses yeux, ce qui peut le calmer.
Essayez de monter à califourchon sur son dos et exercez une pression sur son cou, ce qui le force à fermer ses mâchoires.
Si le crocodile a attrapé un de vos membres, frappez sur l'extrémité de son museau avec votre poing.



2. ...la chaîne alimentaire : ça m'épateuuuu !

je suis allée à Londres (on va le savoir), et j'ai mangé du brie à Prêt à manger, dégusté un éclair au café chez Paul, bu de l'évian et des yops à la fraise. Il est où le dépaysement ?


ok, je suis de mauvaise foi : j'ai aussi goûté la nourriture anglaise (si si), je l'ai fait ! ok, le risque (choc alimentaire et tout ce qui s'ensuit) était sans doute moins grand que celui encouru par un touriste chinois à Paris (quoique...)
Et le mot qui la caractérise le mieux est : pâteux.
Et ils aiment beaucoup la menthe, le basilic et le citron. Et un sandwich thon-concombre, en France, c'est bon. en Angleterre, c'est plein de citron.

samedi 26 juillet 2008

Langue qui tangue.

Débarquées fraîchement de l'Eurostar, on se retrouve au London Bridge, nos gros sacs sur le dos, avec l'envie de prendre un bateau jusqu'à Greenwich.
Arrivée au quai. Désert. (un dimanche matin). Un seul mec dans une cabine aux vitres sales.

Toc toc.
Hello! 'Scuse me euhhh....

Gros blocage.
Une des premières fois de ma vie que je parle anglais.
Ouaip, j'ai fait toute ma scolarité sans faire plus de trois phrases. Je détestais l'anglais. Pris en deuxième langue vivante.
Pas eu de cours depuis 5 ans.
15 au bac, à l'écrit. Et incapable de sortir une phrase simple. C'est là tout le paradoxe de l'enseignement en France. Bref.

Seul truc qui me vient à l'esprit (pas malin, je sais) : Do you speak french ?
Et là, grand moment de solitude.

Le vieux me répond d'un air hautain et avec un accent so british :
Not at all. We are in England, Miss. I speak english.

Et pas un sourire, rien.
Et le voilà qui referme sa cabine toute dégueu.
Et si moi je répondais la même chose à tous les touristes qui me parlent en anglais à Paris, hein ? HEIN ?
Vieux croûton va!

M'enfin par la suite je me suis épatée : les mots me venaient assez spontanément, et je comprenais l'essentiel de ce qu'on me disait, youpeee!
Bon, ok, à l'abbaye de Westminster, juste j'ai dit Hi!
et la fille m'a tendu directement un audioguide en français.

Aurais-je un léger accent ?

mercredi 16 juillet 2008

Bord de l'eaux

Vous attendiez (ou pas, ou plus) un post sur Strasbourg. Eh bien ce sera Bordeaux !
Pardon pour ce bouleversement et pardon d'être si peu présente ici : je suis fort fort occupée, et pas mal en vadrouille.
Samedi dernier : Bordeaux (j'étais en week-end prolongé en bord d'océan).


Une ville bourgeoise avant tout. N'en déplaise à ses habitants (je peux me permettre, vu que je n'en connais pas...), c'est l'impression première que j'ai eue (et c'est mon blog, haha) :


--> Des immeubles avec coupe au carré. Rien ne dépasse. Ou juste quelques épis par-ci par-là (les flèches des églises).


--> Une propreté presque inquiétante. Rien ne traîne. Même pas un chat. Quelques pigeons peut-être, et encore...


--> Des magasins de luxe. Beaucoup de dorures. Et parfois un manque de fraîcheur.


--> Des habitants plus ou moins accueillants, à l'humour plus ou moins décapant.

Exemple d'un portail avec 2 panneaux + 1 grande inscription : interdiction très formelle de stationner.

Exemple d'un Ne sonnez que si on se connaît.

Exemple d'un Je préfère les arbres aux publicités (me souviens plus de la phrase exacte).






Mais à Bordeaux, j'ai vu aussi :

des canes... zavez qu'à vous pencher davantage si vous voulez les apercevoir : elles sont farouches ! je ne suis pas sûre d'être au-dessus du bon jardin, mais bon...





et des canelés ! spécialité de Bordeaux, très bon ! Alcoolisés juste ce qu'il faut (mais un poil plus ne serait pas de refus) et plus ou moins vanillés. Ce site vous en dévoile les origines et la recette. Tout comme pour les photos, je n'ai pu me résoudre à n'en prendre qu'un : le Baillardran, même s'il a totalement envahi la ville, est selon moi le meilleur...









des porcs... au CAPC, expo Less is less, more is more, that's all. Porcs tatoués du célèbre artiste de la Cloaca (plus connue sous le nom de machine à caca), j'ai nommé Wim Delvoye ! en vrai, je n'ai pas vu ce porc de luxe, mais c'est mon préféré...







et des porches (et une cloche). Vestige du Moyen-Age. Grosses tours. Grosse porte. Grosse cloche. Et une impression de bâtiment douillet et moelleux.
















des messages... Juste pour montrer que Wim Delvoye n'aime pas que les déjections et les cochons ! il aime aussi la pizza. Le message pour ceux qui ont du mal à voir : "Susan out for a pizza. Back in five minutes. George."







un mariage... à la cathédrale Saint-André. Une seule nef, très étrange. Orgue puissant. Et mariée toute frêle. Elle était tout en blanc, un comble lorsque l'on habite Bordeaux, non mais ho !










et les ban(c)s qui vont avec ! Ceux du CAPC, créés par Andrée Putman, qui s'est incrustée sur la photo, elle y tenait, j'ai cédé ! et puis je n'avais pas d'appareil photo alors...




















un serpent... tramway, ouaiis ! mais herbe, beuhh ! même pas verte, pour s'harmoniser avec la délicate couleur jaune de la Garonne ?
et oui, je prends de la hauteur dans ce post : les vues aériennes, j'aime !



et un lion ! dit le lion bleu, mais en vérité lion de Veilhan (du nom de l'artiste). Il se dresse majestueusement dans le quartier de la Bastide (pas trop dépaysé car le quartier est désert, même un samedi midi) jetant un regard hautain au serpent qui ondule de temps à autre à côté de lui. Oui je fais de la poésie. Ne manque que la chèvre pour faire la Chimère. Et devinez quoi ? Sur une place bordelaise, j'ai mangé une tartine miel-chèvre...









Et pour finir, un peu d'eau ! Parce que Bord'eaux, c'est tout !


(video de guyomb : Miroir d'eau et skimboarding).

samedi 21 juin 2008

Escapade journalistiquement à l'est!

M'en allant paletot au vent passer un petit concours d'école de journalisme, je fus surprise par un accès de boulet'titude.
récit bref et simplifié de mes aventures.

Jeudi en 5 du mois de juin (?), je pris le TGV pour Strasbourg.
J'y arrivai sous une fine pluie des plus réjouissantes.
Heureusement l'hôtel n'était pas fort fort lointain et je m'y précipitai.
Bel hôtel ma foi de morue!

M'armant de courage et bravant les éléments avec mon parapluie riquiqui et cassé, je suis partie découvrir la ville.
Assez chouette dans l'ensemble il faut bien le dire (cf. prochain post).
Me suis perdue, bien entendu.
Pour les connoisseurs : en partant de la gare, je suis allée jusqu'au complexe hospitalier que j'ai longé du côté mer-canal. En passant par la cathédrale et autres joliesses du coin.

Rentrée éreintée et trempée à l'hôtel, je passai une soirée agréable quoique peu palpitante (à manger des chips devant la tv).

Le lendemain vendredi en 6, j'étais convoquée à 8h au concours déjà mentionné (ou pas).
Toujours ponctuelle, je descendis dans le hall à 7h45. je payai. puis partis. bien decidée à parcourir 2 kms à pied en 10 minutes (je compte 5 minutes pour le paiement et la discussion pluie-beau temps).
Sûre de moi, je marchais gaiement et souflante. Un sac lourdaud sur l'épaule, changement d'hôtel oblige. (oui parce que pour un boulet, 2 nuits = 2 hôtels, c'est là tout le piment de son existence). Bref, je marchais gaiement disais-je. Sans carte. j'ai un très bon sens de l'orientation. Je mis 10 minutes à m'apercevoir que j'étais partie carrément à l'ouest (selon ma boussole intégrée). et je rectifiai le tir.

Sur le point de défaillir et rouge écrevisse j'arrivai en courant sur le lieu du concours.
A 8h50. Bonjour bonjour, ce n'est pas trop tard ?
Non.
On me donna un numéro de place.
Le monde était déjà installé.
Tout calme et pas bavard.
Tout assis.
numéro 467.
je cherche.
mmpppfff. très étrange. les numéros passent de 532 à 218, puis remontent à 438 et font une descente à 167.
Cerveau cogite cogite. Toujours rouge et dégoulinante (de sueur). En plein milieu d'un amphi bondé.
Je demande au premier gens qui se présente le comment du pourquoi je comprends pas je n'ai pas pris de café ni de petit-déjeuner je ne suis pas réveillée.
C'est par ordre alphabétique.
Même pas honte.
Je reprends ma recherche.
M'enfin c'est pareil ça passe du B au D, manque des noms là!
ahhh, c'est par rangée complète (sans se soucier des allées, moi ce que j'en dis c'est que je riz complet).
me voici arrivée à ma place.
Enfin pas tout à fait.
à l'extrémité de la rangée plus exactement.
Pardon pardon j'aimerais passer.

Assise.
L'épreuve peut commencer.

Décrivons ensemble les lunettes. Je fais vider des bouteilles cul-sec, et me sers de nez-en-moins en plus du nez et autres jeux de mots stupides et malvenus.
L'après-midi voit une superbe épreuve de connaissance de l'actualité pointer le bout de son nez. C'est là que je me rends compte que je ne la connais pas, cette dénommée Actualité, qui c'est et qui sait ?
Puis le résumé en français d'un article en anglais. A l'aise. Je maîtrise la langue de Chèque-S-Pire. Et puis les bio-carburants, y a pas photo, c'est ma tasse de thé, mon café à moi, mon essence, mon moteur, j'en passe et des meilleures!

Le soir venu, je me couche dans mon deuxième hôtel.
Le lendemain, mise en plis et rafraîchie, je suis presque à l'heure. Article sur les ados. Je parle d'écrans, de coiffure et de musique. Option légèreté donc.
Puis culture générale. J'suis plutôt culturée dans ma branche. Sur la feuille un peu moins. Les sénateurs sont de vieux croûtons agrémentés de quelques croûtonnes. Le pétrole est partout, pas besoin d'aller au gisement, et la France, j'en suis certaine, n'accèdera pas au plein emploi demain (je confirme, le 8 juin, y avait toujours plein de chômeurs). quant à Bush, son pays et le Moyen-Orient, ben sont pas très très copains.
Me voici sortie.

Je reprends le TGV.

Bilan du concours :
- les doigts dans le nez je l'ai raté! (sachet de thé).
- la honte je me suis tapée! (et même pas j'ai succombé).
- mes concurrents à chaque épreuve j'ai fait lever (parce que j'écris plus vite qu'eux, gnéé).
- bref, je me suis bien amusée!

samedi 17 mai 2008

Du nu

J'ai palpé du nu à outrance ces derniers temps...




Du nu géométrique. J'ai bien aimé. Pis, Picasso, quand même! (les demoiselles..)







Du nu fin, et surtout des muffins. Pas mauvais. M'uffin, on a fait mieux! (demandez à milkandcookie : entre cookie et muffin, elle a choisi!)







Du nu rond. Ca m'a gonflée un tantinet. Faire des ronds dans l'eau quand on est un poisson, c'est pas bon. (Ingres, le Bain Turc).







Du nu gat. Miam. M'en remue les narines, m'en lèche les babines et m'en frotte les papilles (?).







Du dos nu. Y a pas à dire : la peinture, ça conserve! Ou alors, l'amour rend aveugle ? (Dali, Gala vue de dos, 1960 : Gala avait plus de 60 ans).











Du nu guet. Bof, il sentait pas très bon cette année. Ou alors fallait pas que je le prenne dans le métro ?










Du nu très nu. On s'y fait. La modèle était rousse dit-on. Courbet aurait changé la couleur : c'est sûr, c'est plus discret! (L'Origine du monde).








Du nu age gris. "L'orage est là, l'orage est là , l'orage est là mais la pyrrha ne le sait pas... Pour l'éviter, il faut rentrer, il faut rentrer mais la pyrrha est entêtée et toute trempée..." (Charles Trenet, hommage, remixé).







Du nu de luxe. Tout de même quelque 35 millions de dollars pour cette oeuvre de Lucian Freud, record pour un artiste encore vivant. Payé au poids ?






Et puis surtout, je me suis mise à nu...



Et là, paf, le miroir est devenu déformant!
foi d'éléphant!
Et puis ma balance s'est mise à s'emballer!
toute seule, avec du papier cadeau bleu et gris à coeurs roses!
Et voilà bien que des bourrelets se sont incrustés, comme ça, ploc, à l'improviste, sur mon corps svelte et musclé!
on vous a jamais appris à frapper ?



...Au régime ? humpff... Oui!
et que personne ne dise que j'y étais déjà y a quelques semaines ou mois, sinon, boum, il se prend le nur en brique!

dimanche 11 mai 2008

Florilège de Vies de Mer de...

<< --> Aujourd'hui, je pense être dans les embouteillages, bloqué depuis 10 minutes à un feu, je m'impatiente... Quand je me rend compte que je suis derrière une file de voitures vides garées en double file... VDM

--> Aujourd'hui, je décide d'aller chercher moi même ma copine. Etant habillé en grand manteau et fringues plutôt sombres, je sonne à la porte de ma bien aimée. Un grand type ouvre (son père ?) me toise un petit moment, me lance froidement "On prend pas les témoins de Jéhovah" et ferme la porte. VDM

--> Aujourd'hui mon père m'a fait la surprise de déplacer mon lit (le démonter et le remonter) dans ma nouvelle chambre, car je ne trouvais pas l'orientation adéquate... mais il a également pris soin de remettre à sa place mon vibromasseur qui était caché entre le matelas et le sommier... VDM

--> Aujourd'hui et depuis deux semaines je prépare ma copine à la rupture en lui sortant de méchantes vannes. Depuis deux semaines, elle me trouve super rigolo. VDM

--> Aujourd'hui, mon boss m'a demandé de réécrire un article en étant plus "spectaculaire" et en me demandant de mettre en valeur un témoignage qui, à ses yeux, était le plus parlant. C'était le seul que j'avais inventé pour alléger un peu l'article. VDM

--> Aujourd'hui, je suis malade. Mon boss m'appelle pour une urgence au boulot et me demande mot de passe d'ordi pour récupérer un mail important. Pas le choix, Je lui donne. Mon mot de passe est "job2merde". VDM

--> Aujourd'hui, j'avais rendez-vous avec un responsable de ma boite. N'étant pas physionomiste et peu soucieux du nom de famille des gens, j'étais fier d'avoir retenu son nom et son visage: "Bonjour, Monsieur Le Hideux." lui dis-je, "Monsieur Le Vilain suffira..." me retorqua-t-il... VDM

--> Aujourd'hui, j'annonce fièrement à ma diététicienne que j'ai perdu un kilo, elle note quelque chose sur son carnet et s'absente un instant, je regarde : elle avait noté "ENFIN !" en face de mon nom. VDM

--> Aujourd'hui, je tchate avec une fille sur le net. Ca se passe super bien donc on s'échange nos photos. Sur la sienne (super charmante d'ailleurs), je vois un bras autour d'elle et lui demande : "c'est à qui ce gros bras poilu ?!" Elle me répond : "à ma mère". VDM >>


pour d'autres Vies de mErde, c'est par ici

merci à ma p'tie soeur pour l'adresse! et maintenant retour aux noyaux de cerises et autres sachets d'accouchée...

mardi 22 avril 2008

Message subliminal.

Je déborde.
De travail.
Révisions de p*t**ns d'examens qui me font chauffer la cervelle.
N'en peux plus.
Pas de temps du tout.

Pour en gagner,
j'ai envisagé diverses solutions :

- ne pas me laver pendant 20 jours : hop, je réduis ma facture d'électricité, j'agrandis mon périmètre de sécurité pour toute sortie éventuelle,
et je termine à la déchetterie. (recyclage ?)

- ne pas manger pendant 20 jours : hop, je perds les 5 kilos qui me gênent, je ne vois pas l'augmentation des laitages et des pâtes,
et je m'envole au premier coup de vent en même temps que ma feuille d'examen. (maintenant vous pouvez connaître mon poids..)

- ne pas réviser : hop, je suis en vacances, plus besoin de café, je pars en voyage loin de cette grisaille
et je meurs sans diplôme après avoir ramé tant de temps(?).

- ne plus me prendre de pause internet/bloguesque : je perds le fil des blogs que je lis mais j'ai plein de nouvelles à lire à mon retour...

J'ai retenu la dernière solution...

Ca me fend le coeur, J'entends d'ici les pleurs et les clameurs dans les chaumières de toute la planète...

Mais vous, mes très chers lecteurs fidèles (quelques milliers à tout casser), je vous dis : (attention, phrase à noter qui restera dans les annales)
si je pars, c'est pour mieux revenir!

oui oui, toute fraîche, pimpante et guillerette, le 15 mai.

Mille pardons.

Je vous laisse....
les points de suspension, c'est pour vous tenir en haleine jusqu'à mon retour..
y'en a peut-être à peine assez, j'en remets :

... ... ... ... ... ... ... ...

mieux vaut tard que jamais : je viens de découvrir que je pouvais changer couleurs/police/taille etc. dingue!

jeudi 10 avril 2008

Quand enfant rime avec bêtise...

(... ça fait enfantise et ça ne veut plus rien dire...)

Je garde des enfants très imaginatifs :

==> qui étalent du savon à mains sur du parquet ciré pour faire glisser la baby-sitter.
baby-sitter qui s'étale elle aussi de tout son long (ou presque).


==> qui vident la baignoire sur le sol de la salle de bain dans l'espoir d'inonder la pièce et Paris avec.
ok, l'idée a pu être suggérée par la baby-sitter pas finaude qui invente une histoire super cool : transformer Paris en piscine/baignoire géante, pour pouvoir prendre son bain tout en allant à l'école, descendre dans un sous-marin/métro, plonger par la fenêtre plutôt que d'emprunter les escaliers, naviguer en bouée géante et autres stupidités.


==> qui mordent dans une cartouche d'encre noire et font un joli moucheté sur coussin de sol agrémenté de quelques traces chocolatées, dans l'appart de la baby-sitter bien sûr.
on peut là encore remarquer le manque de jugeotte de la baby-sitter qui fait des poires belle-hélène en guise de goûter. et qui laisse traîner des cartouches sur son bureau.

==> qui tentent un collage de chewing-gum derrière l'oreille (genre je le récupère discrètement après le repas) en oubliant qu'ils ont des cheveux.
la solution unique et ultime de la baby-sitter : les ciseaux.

==> qui mettent la musique à fond pour imiter le clip de Mickael Jackson ci-dessous
bonne nouvelle : les fenêtres ont tenu!





J'en passe et des meilleures.

mercredi 9 avril 2008

Vois-tu(r) la pris(on) ? Rond.

Hier, j'ai découvert des choses.

1. Le blog qui me suit n'est en réalité pas le blog qui me suit. Ou alors c'est un blogueur farceur. Qui tourne en rond.


2. Il n' y a pas de red bullllee dans les grandes canettes sur les voiturettes de pub.

J'en déduis (je déduis ce que je veux) qu'il n'y a pas de kangourou dans les kangoo.

Et pas 3 saucisses dans les 306. Et pas de sang neuf dans les 209 (qui n'existent pas ?)

Et qu'on ne fait pas de nic-pic (verlan) à Sceaux avec les Sce-nicPic-à-sso.

Et que les conducteurs de Polo ne portent pas tous un polo, tout comme les propriétaires de LN ne s'appellent pas toutes Hélène, et ainsi de suite avec Clio, Megane et cie.

Je laisse, passe (Espace pour les non-tordus) à la découverte suivante.
(Je pourrai aussi vous apprendre qu'une 4L ne vole pas plus qu'une Coccinelle, et que c'est la même chose avec les marques : Fiat ne résulte pas d'une faute de frappe, on ne vole pas de veau avec Volvo, les Ferrari n'ont rien à voir avec des fers à riz etc.).

Si avec tout ça, j'ai pas de mecs qui ramènent leurs fesses sur mon blog, alors je rajouterai qu'une porsche n'est pas une porscherie. Ou alors c'est une porscherie de luxe, avec bains à remous de boue et autres cochonneries.

Je pourrais enchaîner avec les qu eues-en-tire-bouchons et autres mots prêtant à confusion, mais j'ai peur d'attirer les pervers. (déjà qu'ils viennent parce que j'ai parlé de c-u-lotte dans un post précédent...).


3. J'ai deux prises téléphoniques dans mon appart minuscule. Me demande si je ne dois pas acheter un deuxième combiné. On ne sait jamais. Si un jour je n'ai pas le temps de tendre le bras droit pour saisir le téléphone (qui sonne) à l'EST, ben je pourrai toujours tendre le gauche pour saisir le téléphone (qui sonne) à l'OUEST. Aha, jsuis pas bête de la tête moi! quoique en réfléchissant bien, je dois (j'espère) avoir les 2 bras de la même longueur. Donc arrivant en même temps. Tant mieux, j'entendrai deux fois mieux.




Et vous, zavez découvert que je suis un ch'veu fatiguée ?

mardi 8 avril 2008

CaNAdien et Pantalon.

Un jour comme un autre, me promène aux Halles. Toujours les mêmes magasins et dans le même ordre. Fnac. L’Occitane. Nature et découvertes. Mango. Demi-tour. Escalator. Gap. Habitat. Escalator. Escalator. Air libre.
Mais cette fois, paf, je tombe sur un os. Un grain de sable canadien et c’est tout l’engrenage qui s’enraye ( ?).
L’histoire se passe après le demi-tour, dans le premier escalator.

Un mec me dit sorrydoyouspeakenglish.
Je lui réponds tout sourire. Hummpppffff a little bit.
Avec moults gestes et moues signifiant successivement oui un peu enfin très mal enfin quand même un peu, bref à toi de juger si tu me comprends mais vas-y parle je te comprends mais doucement et ne m’en veux pas si je te regarde avec des yeux de merlan frit.

Lui en anglais en gros et en abrégé : je me permets de t’aborder à cause de ton jean. Tu le portes comme les Américains !
Moi en français détaillé et inspiré : ahhhh…. Ah oui ? (j’suis pas certaine de le prendre bien. Les américains ne sont pas spécialement connus pour bon goût vestimentaire… cliché ?)

Re moi en français non moins inspiré et gestuellement efficace : parce qu’il traîne par terre et qu’il est large ! c'est ça ?
Lui : yeahh… (je ne te le dis pas mon vieux, mais il est bien détendu parce que je le porte depuis 1 semaine sans lavage, honte à moi !). et toujours en anglais : c’est très rare en France, tu as des origines espagnoles ?
Moi : euhhh… non. (je suis poilue ou bien ? cliché ?)

J’apprends qu’il est de Toronto, en France depuis quelques mois, qu’il chante le gospel et qu’il aime aussi le r’n’b (qui ne doit pas s’écrire comme ça, désolée).
Et tout ça en 2 escalators. Je loupe donc Gap et Habitat. Je suis un tantinet décontenancée. Je me retrouve devant Jen(ifer). Le dénouement aurait pu choisir meilleure place.

- est-ce que je pourrais avoir ton numéro de téléphone ?
ha ha, nous revoici en terrain connu, hihi.
- euh…. (laisse-moi réfléchir, et tu marines et tu marines…). Non. Mais vraiment désolée de te le refuser.
- Ah, tu es timide ?
Voilà c’est ça coco. Tout compris.
- ce serait juste pour échanger, améliorer mon français, et si tu veux, je peux t’aider pour l’anglais, non ?
- Non.

On ne m’avait jamais fait le cours de langue.
Et je crois qu’il était sincère le bougre !
Presque je regrette.

lundi 7 avril 2008

Troublée.

Je suis connectée depuis tout de suite.

Mais pas sur le bon réseau.

Il Veut pas synchroniser ma box ou un truc de ce genre.

Mais ça capte d'autres réseaux.

Comprends rien.

Bah tant pis. Tant que ça marche.

Ravie d'être parmi vous.

samedi 29 mars 2008

Le retour du je(u)di (27 mars 2008).

et que personne ne me dise qu'on est samedi! (oubli de postage).


J’ai fait ma ch’tite (la France parle le Ch'nord en ce moment, rapport au film que je n'ai pas vu) commande à Neuf Cegetel, délai plus long que prévu, vers 10/15 avril normalement.
Me suis transformée en courant d’air bloguesque, et me suis donc donné un p’tit mal de gorge parce que le printemps est là, donc il fait 0 le matin.

Quelques vérités assénées à la va-vite :

--> A Windsor, tu peux marcher sur les tables. Te promener en slalomant entre les couverts, verres et autres candélabres. Faire de splendides glissades. Esquisser quelques pas de danse. Mais surtout, surtout, n’oublie pas… ... tu dois montrer tes chaussettes!

--> La première guerre mondiale, « c’est un peu une guerre civile à l’échelle européenne ».

--> 1 footing = 2 pétards.

--> Sarko le Nabot est pudique des chaussettes (cf. son voyage en Inde).

--> Il ne faut pas avaler plus de 70g de lipides par jour.

--> Le poilu n’est plus.

--> King Kong en vrai, c’est bof. King Kong suédé, c’est top.

Alors en vrac, j’ai vu : l’hommage aux poilus aux invalides ; un reportage sur les coulisses d’un voyage présidentiel ; le journal de la santé ; les infos ; Soyez sympa, rembobinez (de Gondry, tordant).


EDIT spécial pour le boulet bostonien...


samedi 8 mars 2008

Je suis vivante !

longue absence inquiétante pour certains (certaines plutôt, merchi les filles), mais justifiée.
J'ai survécu à :

- la disparition de ma connexion : mes voisins sont des gens mesquins, ils ont sécurisé leur réseau. Il faut que je me trouve un abonnement, mais je suis un peu submergée (problème pour un poisson) par des offres que je ne comprend pas (à part la différence wifi/adsl, j'suis totalement larguée). donc ça va me prendre un p'tit moment.


- une grippe terrible qui m'a clouée au lit pendant une semaine, et durant laquelle j'ai pris :
--> 3 boîtes de doliprane 1000.
--> quasi 1 boîte d'Advil.
--> 1 bouteille de sirop.
--> 1 flacon de gouttes nasales.
et c'est bien la première fois que je termine des boîtes de médocs!
j'ai même dû appeler sos médecin à la rescousse, et le sieur m'a dit en version abrégée que j'étais une irresponsable car la grippe est une maladie dangereuse (et je côtoie des enfants).


Ce message n'est qu'un sursaut de vie, je repars dans des contrées lointaines et isolées (Paris) sans internet.
Mais je reviens bientôt (disons 2 semaines).

mardi 12 février 2008

P(l)uteaux Neuilly ou EtaZunis ?

petite pause méditation profonde(rapide pour cause de décontraction déjà généralisée-pas besoin de se relaxer- mieux vaudrait s'activer) :

le sujet : la Famille. Le retour du pouvoir héréditaire ?

faisons le point :
--> en France, au menu du week-end :

- une fille et son père quasi sénile se bagarrent à Puteaux.

- Sarkozy père et fils mettent leur grain de sel (voire toute une salière) dans les affaires de Neuilly.

(dans les 2 cas, on parle des municipales, pour les largués-loin de la France-qui ne suivent pas l'actualité)

--> aux US :

- le clan Billary Clinton dans la course à l'investiture.
j'parle pas des Bush Senior et Junior, ils puent trop (et hop-là, encore un jeu de mots avec Put(r)eaux, help! hilfe! je suis totalement ruquiérisée!)



Alors, je vous la pose en 1000 : et ma mère ?



PS (parti Socialiste ?): Concis, net, précis et intellectuellement riche, c'est tout moi ça!
(faut bien que je nourrisse le libellé Actualités, un tantinet délaissé).


Et pour faire bonne figure, 2 citations (3 si vous chipotez) sur la famille :

Les familles, l'été venu, se dirigent vers la mer en y emmenant leurs enfants. Dans l'espoir, souvent déçu, de noyer les plus laids.”
Alphonse Allais le Cruel cynique.



“Mon grand-père était plus grand que mon père. Mon père était plus grand que moi. On dégénère dans la famille.”
Jacques Chirac le grand réaliste. (mais alors, si on suit le raisonnement, étant donnée la taille de Sarko 2 par rapport à celle de Sarko 1er.... arghhhhh je meurs!)

“Le quadruple meurtre de Trifouilly-sur-Mer éclairci: le meurtrier était un ami de la famille. On frémit à l'idée que ç'aurait pu être un ennemi de la famille...”
Pierre Desproges, le rigolo.

lundi 11 février 2008

Pois chiche ou gros poids ?

On me traite de blonde, on me pense poisson sans cervelle, mais en vrai de vrai : je suis trop zintelligente! J'me suis QI fiée sur un site trouvé sur un blog que je ne retrouve plus (juste le jour où je découvre que j'ai une mémoire d'éléphant dans une carcasse de poiscaille, elle est bizarre la vie!).

Et voilà la bête :

"Votre quotient intellectuel est : 135

Comme un collectionneur, vous alimentez votre cerveau avec un grand nombre de faits et de chiffres. Ceci fait de vous un collectionneur de faits. Vous avez une bonne expertise, et vous connaissez les faits par cœur. Que vous soyez concentré ou non, vous absorbez toutes les informations à la manière d'une éponge. Et votre cerveau sauvegarde tout comme un disque dur énorme.

Dans votre mémoire, vous disposez d'un important vocabulaire qui suffirait à remplir un lexique. Vous vous débrouillez également bien avec les chiffres et vous reconnaissez des modèles dans des séries de nombres."

Epatés vous êtes, n'est-il pas ?

allez voir sur ce site, et on saura qui sont les poissons dans l'histoire http://fr.tickle.com/test/iq/intro.html

samedi 9 février 2008

Pie-TAG-or-ni-car

Gaëlle m'a taguée!
le règlement en vrac :
---> "lier" la tagueuse/tagueur, c'est fait, c'est Gaëlle.

---> afficher le règlement (j'hésite entre punaises et patafix, mais vais d'abord assassiner mon humour niais).

---> écrire 6 choses sur moi :

les voici, les voilà, toutes plus passionnantes les unes que les autres :

1. je déteste les pieds, qu'ils soient petits, gros, boursouflés, vernissés, transpirants, plats, larges, longs ou poilus... (donc ne me parle plus jamais de pieds Gaëlle!!!)

2. je ne suis pas très ponctuelle (ceci étant dû au fait que je préfère être attendue qu'attendre)

3. j'ai le cheveu indécis. Il hésite entre boucles, frisottis, anglaises et souplesse.

4. je hurle dés que je vois la plus petite bestiole mais je suis incapable de l'écraser avec ma chaussure et mon pied à l'intérieur (trop de proximité).
Soit j'appelle quelqu'un (enfin quand y a quelqu'un en général, vu mes cris, il accourt sans appel).
Soit je prends un dictionnaire que je mets dans un sac plastique que je lance sur la bête en me tenant à un kilomètre. Du coup je suis une pro à la pétanque et au bowling. Et ça laisse de zolies marques sur le carrelage (genre petite traînée rouge, une patte par-ci, une tête par-là).

5. je parle beaucoup (trop ?) quand je suis nerveuse et mal à l'aise. Mais je parle aussi beaucoup qand je suis à l'aise. En réfléchissant bien, je parle beaucoup tout court. On dirait pas comme ça, si ?

6. j'ai besoin de 2 cafés et 3 réveils pour émerger des bras de Morphée (quand il veut bien me lâcher).


---> taguer 6 personnes (mettre les liens et leur annoncer l'heureuse nouvelle sur leur blog).
la question est : as-tu intérêt à taguer les blogs que tu n'aimes pas ou ceux que tu aimes ?
Donc, il faut déterminer la nature du tag : Est-ce un cadeau ou un poison ? Un art ou un délit ? Est-ce que j'ai envie de faire des zibouibouis sur les murs des autres ? est-ce que ça vaut le coup de réfléchir 3 heures sur cette question ou faut-il mieux se concentrer sur les techniques de l'architecture qui n'attendent que moi ?

Ayant dit "TAG ueule!" à mon cerveau, je tague :


Anne So étant donné que tu as le temps de te détendre...
Milk&Cookie The secret va être révélé!
Le Wombat tu remarqueras la majuscule à Le!
Arbre&Matin fallait pas parler du soleil de Floride!
Agnès je suis blonde ? juste retour des choses, haha!
Froggie Taguée! En plein dans le thé!

Sans rancune, siouplaît! (allez TAGuirlander Gaëlle si zêtes pas contents!)

vendredi 8 février 2008

Pyrrha-Na jette du lest!

C'est décidé (et c'est pas du flan). Demain, la Pyrrha-Na commence à perdre du poids.

Alors ça va être :

De la soupe tous les soirs.
avec son tout nouveau tout beau quasi toujours dans son carton quasi pas utilisé depuis 1 mois mixeur.

Des repas variés le midi.
c'est-à-dire autre chose que des pâtes et des pâtes.

Pas de goûter.
C'est plus une p'tite rana, c'est une pyrrha-nana (hou la vache, même ses jeux de mots sont lourdauds, voir foireux, ratés, honteux, à rayer, à jeter, à noyer)

Pas de saut de repas
toute façon, elle est trop lourde pour sauter, rhooo la baleine.

Des abdos tous les jours, histoire de muscler ses arêtes mollassonnes.
mouais enfin ça, c'est la dernière option. optionnelle donc. (faut pas non plus pousser l'poisson sous l'hameçon, non mais!)


L'objectif : 5 kilos. Pas de limite spatio-temporelle. La pyrrha-Na est immortelle.



Ceci est une déclaration officielle de Pyrrha-na qui se sent grasse après avoir mangé 3 fois en 5 jours au Quick en bas de chez elle!
Repas gourmand, tant qu'à faire, mais coca 0, s'il-vous-plaît!


Notez bien que c'est pas sa faute, mais celle de tous les gens qui vendent de la bouffe dans sa rue et dont voici les noms, sans vouloir dénoncer/rapporter (quoique) :

Marché U (2 ou 3).
Franprix (2).
Quick.
Starbucks.
Poissonnier (Appel à la manifestation : Mort au Tueur de poissons innocents, Mort au Tueur de poissons innoc... Le peu de calories ne doit pas cacher la tuerie...)
Traiteur chinois.
Boulangeries (3 ou 4, voir 5).
Des sandwichs à gogo.
Sans parler des restaus à foison, et autres fromagers.

Elle en a ras-le-bol la Pyrrha. Et encore, elle ne parle pas des rues d'à côté. Marre. Elle va changer de quartier. Habiter en Antarctique.

Mais pas tout de suite.


EDIT : je viens de penser, mauvaise idée de commencer demain, je pars en week-end crêpeux plein de crêpes (à moi la confiture de châtaignes/nutella/sirop d'érable!) Lundi donc. Foi de poissonne pas polissonne!

mardi 5 février 2008

Le grand blond qui frisait et mourait.

p'tite blague de primaire (CM1), qui tombe à pic en ce super tuesday, rapport caucus/primaires américains (pour les mous du g'nou qui n'auraient pas saisi la finesse de ma pensée fine)...

Un blond va chez le coiffeur (mouais, il frisotte sur les côtés. Et pas au sommet. genre Kilimandjaro qui émerge à peine d'une ceinture de nuages, genre tonsure de moine, genre oeuf cerné par des feuilles de salade frisée, genre.. bon zavez capté l'idée... : Raide. Frisé. Lui pas aimer).

Mais il a un casque de baladeur sur la tête (gros le casque).
Donc problème pour couper le ch'veu (même en deux).

Re donc, gentiment poliment et tutti titif, le coiffeur lui demande de l'enlever.

- ah non non, je ne peux pas, mon docteur me l'a interdit! Je dois toujours le garder!

drôle de docteur vraiment, se dit le coiffeur (et toi aussi, Lecteur, je n'en doute pas, voui, je doute de rien moi).
Qu'à cela ne tienne, il insiste (tout miel mille fleurs):
- si tu veux être joli comme un pissenlit, avoir une belle mise en plis, va falloir l'enlever ce casque pourri! (le commerce à la française).

Le benêt blond hésite. Un p'tit pois, deux p'tits pois, Trois p'tits pois. Impair, tu perds. Il se laisse (re re)donc convaincre (influençable et faible, comme tous les mecs). Il ôte le casque.

Et meurt.


La fin c'est le meilleur. Si si!
...
...
Et je ne la raconte que si j'ai plus de 4 commentaires. Na! c'est mon envie, ma folie.

Et je survends à peine. (Je risque le bide. Ou le flop. Bide-flop, bide-flop, bide...)

dimanche 3 février 2008

Vive les femmes!

(message sans rapport avec la nouvelle épouse du pingouin-napo-nabot en talons).

"Les femmes ne sont-elles pas également à l'image de Dieu ? Elles participent de la grâce et du royaume éternel ; elles sont douées d'une intelligence vive et d'une aptitude à la connaissance égale, voire supérieure à la nôtre. Dieu les destine comme nous, aux plus hautes fonctions : gouverner les Etats, conseiller les rois ou les princes, exercer la médecine et les autres arts utiles au genre humain, devenir prophétesses, faire des remontrances aux prêtres et aux évêques".

Comenius (17ème siècle, auteur du texte ci-dessus), c'était un bon gars. Intelligent comme tout.
Je vais même plus loin : nous les femmes, on est mieux que les hommes. Limite on se demande pourquoi ils existent encore ces primates. J'y vais un tantinet trop fort ?
Je vous emm... J'emm... le monde ce soir, je suis de sale humeur je crois. La faute à un frisé débile tirant sur le blond casquetté. Et couillon. Sans être vulgaire. Bonne nuit.


Petit ajout pour briller en société, lu dans le Courrier International, page insolites (ma page préférée, haha) : la phobie des ponts, c'est la géphyrophobie, ça, c'est dit.

jeudi 24 janvier 2008

une pyrrha-na très très fatiguée :

- traverse la rue quand le feu des voitures passe au vert
et crie "connard tu vois pas que c'est à moi de passer" à l'automobiliste qui ose la klaxonner, pardon monsieur!

- oublie de relever le couvercle de ses toilettes
mais s'en aperçoit tout de même suffisamment vite, ouf!

- srevne'l à lanruoj nos til
ou plutôt fait semblant de le lire tout en s'efforçant de garder les yeux ouverts.

- met sa culotte à la poubelle au lieu du panier à linge sale
et ne percute que lorsqu'elle jette ses épluchures de pomme par-dessus.

- reprend une dame d'un certain âge croisée dans la rue et totalement inconnue : "on ne met pas le conditionnel après si, mais un indicatif"
et se prend une baffe (c'est pas vrai, elle était haute comme trois pommes, même pas elle pouvait atteindre ma joue).

- raccroche au nez des gens
ah non, ça, c'est plutôt une réaction de son subconscient : ne prend pas cet appel ne prend pas cet appel, ce mec te saoûle, ce mec te saoûle...

- ne se maquille qu'un oeil
je suis toute rouge, je cours me cacher.

- sort son bol de soupe brûlant du micro-ondes sans protection, se brûle, hurle, et lâche sa soupe.
et accessoirement casse le bol.

- se plante d'étage pour entrer chez des amis quand ils sont absents (avec une clé, dois-je le préciser ?)
et grogne contre la porte de l'étage du dessous.


- regarde des conneries à la tv
d'un autre côté, si on enlève les conneries...

- envoie valser un rétroviseur en fonçant à toute allure sur son bolide (vélib)
et n'attend pas de savoir si l'automobiliste est content ou pas (faisait nuit, mauvaise évaluation des distances, il n'avait qu'à être un peu plus loin du trottoir).

- ne signe pas les chèques
ce qui n'empêche pas que le compte soit débité, mfff, ça sert à quoi de signer ?

- oublie une de ses culottes (et évidemment pas la plus glamour/sex) dans une machine de sa laverie préférée bondée
et est rattrapée en pleine rue par un charmant homme brandissant la sus-nommée culotte "vous avez oublié ça!"

- éteint son portable-réveil sans même se réveiller
et ça l'énerve.

- lave de la vaisselle déjà lavée
c'est toujours mieux dans ce sens!


J'en oublie et des meilleures, et tout ça en à peine une semaine !
Dormi en moyenne 4h par nuit, j'ai fait le calcul!
c'est trop pour mes vieilles arêtes..

EDIT : nan mais on n'est pas jeudi! C'est bêta ce truc. je l'avais mis en brouillon pour le compléter et voilà! pffff et en plus, j'ai aussi un Giacometti en attente...